Il existe ce que les physiciens appellent un bruit de fond qui est permanent et qui nous environne à chaque seconde : ce bruit de fond est, en fait, un cocktail d’ondes sans lequel aucune forme de vie ne serait possible. Personne n’y échappe, il vient du cosmos, du soleil, des roches, de la terre et des êtres vivants qui nous entourent.
Cette forme de « lumière invisible » nous est aussi indispensable que l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons ou encore les aliments qui nous nourrissent. De manière expérimentale, des lapins enfermés dans des cages de plomb épaisses, nourris, abreuvés, ventilés et éclairés artificiellement meurent pourtant en 8 jours de ce que l’on pourrait nommer « la faim cosmique » ! Ceci provient du fait qu’ils ont été privés d’une part importante de cette lumière aussi indétectable que vitale !…
Les Grecs ou les Indiens parlaient de l’éther pour désigner ce rayonnement fondamental, mais c’est Nikola Tesla qui, le premier, mit en évidence l’existence d’ondes très pénétrantes et de puissance suffisante pour être détectées au moins dans la bande des fréquences radio. Ces ondes avaient des propriétés très différentes des ondes électro-magnétiques découvertes par son contemporain Heinrich Hertz.
L’omniprésence de ces « grains de lumière » très discrets devrait donc attirer notre attention. Surtout si ces petites particules surabondantes dans l’univers nous nourrissent à chaque instant… Pourtant qui s’y intéresse aujourd’hui ? Pas la communauté médicale en tout cas qui considère que tout cela n’est qu’une vue de l’esprit. Un peu comme si un poisson au fond de l’océan affirmait que l’eau n’existe pas, car il ne l’a jamais vue !
Un peu partout dans le monde, des chercheurs démontrent pourtant que cette « lumière invisible » se propage sous la forme d’ondes dites scalaires, c’est-à-dire sans vecteur défini, et qu’elles s’orientent dans l’espace lorsqu’une résonance – c’est-à-dire une communication – s’établit entre la source et la cible.
Ces ondes sont de forme spirale ou longitudinale, comme l’ADN de chaque cellule d’un végétal, d’un animal ou d’un être humain, comme les protéines sous leur forme active aussi.
Nous aussi, nous émettons et recevons des ondes en spirale : les ondes émises par un cerveau en fonction sont des champs de torsion nous disent depuis 40 ans les chercheurs russes, c’est-à-dire encore des ondes en vortex. Elles passent les cages de Faraday (à l’inverse de l’électromagnétisme toujours), augmentent leur puissance avec la distance et dès lors que la résonance est établie, elles sont reçues même à des milliers de kilomètres de distance, et ce à faible puissance !
La télépathie ou certaines manifestations de ce que l’on appelle la loi d’attraction auraient ainsi pour support ce type d’ondes. Ne s’agit-il pas d’un échange d’ondes entre un émetteur et un récepteur ? Un peu comme lorsque l’on regarde la télévision, sauf que la nature des ondes est différente, électromagnétique ou transversale dans le cas de la télévision, et scalaire ou longitudinale dans le cas de la télépathie.
Le fait que nous soyons transpercés à chaque seconde de notre vie par ces ondes scalaires venant des étoiles et du soleil d’un côté, de la terre elle-même et des êtres vivants qui nous entourent d’un autre côté, nous fait penser qu’elles sont sûrement utiles à quelque chose.
La première « machine » à ondes scalaires utilisable en thérapie serait ainsi – depuis la nuit des temps – l’être humain lui-même. Entre ses deux mains en opposition se crée spontanément un champ d’ondes échangées entre sa droite et sa gauche, dont la charge électrique est différente. Lorsqu’un magnétiseur inclue, entre ses mains ouvertes, une personne malade qui par définition perd beaucoup d’énergie, il lui suffit de se relier à une source, qu’elle soit cosmique comme le soleil ou bien spirituelle comme un autre être humain et donc en étroite résonance avec lui-même, pour que l’énergie (neutrinos, électrons, photons) passe de sa source à son patient !
Dans toutes les cultures, depuis des milliers d’années, l’homme-médecine est non seulement un connaisseur des plantes et des arômes, mais aussi un chaman capable de canaliser pour ses proches, l’énergie de type scalaire ou longitudinal de l’environnement. Ce flux existe (60 milliards de particules par cm2 et par seconde), il faut et il suffit de le concentrer.
Mais avant même de transmettre cette énergie à une tierce personne, il s’agit d’abord de se servir soi-même… simplement en ouvrant les mains pour soi ; c’est l’attitude naturelle d’une personne qui prie les mains jointes ou bien celle du sage qui médite les bras ouverts.
Toutes les religions et toutes les spiritualités du monde ont demandé à leurs pratiquants de prier et/ou de méditer, car toutes les traditions savent depuis toujours que cette attitude renforce la conscience, le mental et le corps physique de l’adepte. Bien sûr, autrefois, il n’y avait pas d’explication « scalaire », mais la physiologie de ces ondes telle que formulée aujourd’hui permet de souligner au moins l’aspect physique bénéfique de ces pratiques.
Capter ces ondes proches en état modifié de conscience nous relie au cosmos et/ou au divin, cela recharge nos membranes au sens strict, apaise nos douleurs et réchauffe notre corps tout entier.
Article paru sur Alternatives Santé