Historique

Le Reiki est une méthode de guérison ancestrale, elle permet de canaliser l’énergie et de la transmettre par imposition des mains.
Le mot Reiki est formé de deux kanjis japonais le « Rei » qui signifie « esprit » et le « Ki » qui signifie « énergie ». Ce qui peut se traduire par « énergie de l’esprit » ou « force de l’esprit ». En français : « énergie spirituelle ».
On retrouve cette énergie dans toutes les cultures depuis des millénaires, avec des noms différents « Prâna » pour les Hindous, « Chi » pour les Chinois, « Lumière » pour les Chrétiens.

Mikao Usui

Ce qu’en dit le fondateur Mikao Usui lors d’une interview :
(Traduit du japonais par Hyakuten Inamoto)

« Notre thérapie du Reiki (Reiki Ryoho) est quelque chose d’absolument original et ne peut être comparée à aucune autre voie au monde.

C’est pourquoi je souhaiterais rendre cette méthode accessible au public pour le bien-être de l’humanité. Chacun de nous possède le potentiel de recevoir un cadeau du divin, qui a pour résultat l’unification du corps et de l’esprit. De cette façon, un grand nombre de personnes feront l’expérience de la bénédiction divine. Avant toute chose, notre méthode du Reiki est une thérapie originale, qui est construite sur le pouvoir spirituel de l’univers.

A travers celui-ci, l’être humain retrouvera en premier la santé, et ensuite la paix de l’esprit et la joie de vivre augmenteront.

Aujourd’hui nous avons besoin d’amélioration et de restructuration dans nos vies, afin que nous puissions libérer nos compagnons humains de la maladie et de la souffrance émotionnelle.

C’est la raison pour laquelle j’ose enseigner librement cette méthode en public ».

Personnellement, et suite à de nombreuses expériences, le Reiki est un cadeau pour soi et pour l’humanité.

 

L’histoire du REIKI s’est transformée au fil du temps…. C’est pour cette raison que je préfère me référer à l’inscription gravée sur la stèle érigée à côté de la tombe de Mikao Usui, fondateur de la méthode Reiki

EXTRAITS DE L’INSCRIPTION SUR LA STÈLE FUNÉRAIRE DE MIKAO USUI :

L’inscription du mémorial Usui, écrite en japonais ancien, a été traduite en japonais contemporain par Masano Kobayashi, puis du japonais en anglais par Frank Arjava Petter et sa femme japonaise Chetna, fille de Masano Kobayashi, puis en français ce qui explique des tournures de phrases un peu difficiles parfois….

« …. Mikao Usui est né le 15 Août 1864. Son prénom était Mikao et son autre prénom Gyoho (Kyoho). Il est né dans le village de Yago, dans le district de Yamagata de la préfecture de Gifu. D’après ce que l’on connaît de lui, il fut un élève talentueux et persévérant. Adulte, il voyagea dans plusieurs pays occidentaux et en Chine pour étudier. Il travailla avec ardeur mais rencontra la malchance à un moment donné. Ce n’est pas pour autant qu’il renonça et mit plus d’ardeur à s’instruire.

Temple du Mont Kurama
Temple du Mont Kurama

Un jour, il partit sur le Mont Kurama (mont sacré au Japon) pour jeûner et méditer durant 21 jours. A la fin de cette période, il ressentit soudain la grande énergie Reiki au-dessus de sa tête. Ce ressenti le conduisit au système de guérison Reiki. Il essaya d’abord le Reiki sur lui-même, puis l’essaya sur sa famille. Puisque cela fonctionnait bien pour certaines maladies, il décida de partager sa connaissance avec le grand public. Il ouvrit une clinique à Tokyo en avril 1921. Il ne traitait pas seulement d’innombrables patients qui venaient parfois de très loin, mais il animait également des ateliers pour répandre sa connaissance. Au mois de septembre 1923, un tremblement de terre dévastateur secoua Tokyo. Des milliers de personnes moururent, furent blessées ou tombèrent malades par la suite. Mikao Usui fut affligé par la souffrance de ces gens, mais il amena le Reiki dans la ville dévastée et utilisa ses pouvoirs de guérison sur les victimes qui survivaient encore. Sa clinique devint rapidement trop petite pour traiter la foule de patients, alors au mois de février 1924, il en fit construire une autre en dehors de Tokyo, à Nakano.

Sa renommée s’étendit très vite dans tout le Japon et les invitations des villes et villages éloignés commencèrent à arriver. Une fois il allait à Kure, une autre fois à la préfecture de Hiroshima, puis à celle de Saga et Fukuyama.

C’est durant son séjour à Fukuyama qu’il fut touché par une paralysie cérébrale qui lui fut fatale le 9 mars 1926. Il avait 62 ans…… »